Étude de la pertinence de protéger l'archipel Saint-François
Bilan des activités de l'organisme 2008 - 2023
Son site web, http://sauvonsnostroisgrandesiles.com, n'évoluera plus, mais il restera accessible en ligne jusqu'au 20 décembre 2024.
Veuillez noter qu'à partir du 21 décembre 2024, le contenu de sauvonsnostroisgrandesiles.com sera accessible au Centre d'archives de Laval, à l'adresse suivante : https://archives-histoire-laval.org/
C'est avec le sentiment du devoir accompli que les administrateurs de Sauvons nos trois grandes îles ont décidé qu'ils cesseront prochainement leurs activités et qu'ils demanderont la dissolution de l'organisme à but non lucratif qu'ils ont fondé en janvier 2008.
« Il est cependant indispensable de rester vigilant.e.s, car n'étant toujours pas inscrits au Registre provincial des Aires protégées, ces territoires peuvent toujours faire l'objet de changements de zonage dans le futur. Le CRE de Laval espère que la Ville de Laval se dotera de mécanismes permettant de protéger ces territoires à perpétuité et d'agir concrètement pour assurer le maintien de leur intégrité écologique (lutte contre les espèces envahissantes, pollution des ruisseaux, empiétements sauvages, etc.), mais aussi leur connectivité. »
« 10 municipalités de la couronne nord s'unissent pour préserver un espace vert de qualité exceptionnelle pour les citoyens et protéger leur eau potable… (les élus) se sont engagés dans une déclaration commune, à entreprendre toutes les démarches nécessaires afin d'obtenir un statut officiel … d'ici 2024. »
Sauvons nos trois grands îles salue l'engagement de la Ville à prendre les mesures administratives appropriées afin de « protéger » près de 5 000 hectares de milieux naturels et de « conserver » 566 hectares. Toutefois les milieux naturels dits « protégés » ne sont pas nécessairement « protégés » du développement résidentiel; seuls les territoires affectés à la « conservation » le sont. Il faut se rappeler que, quel que soit le type d'affectation, ce ne sont là que des mesures administratives qui peuvent être modifiées par l'administration municipale. La Ville a demandé à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) d'inscrire 10 bois et îles de Laval au « Répertoire métropolitain des initiatives municipales de conservation » et elle présente ce geste comme « Un engagement fort pour la protection des milieux naturels ». Or, la Communauté métropolitaine précise clairement que les milieux naturels inscrits « ne répondent pas à l'ensemble des critères d'une aire protégée telle que définie par l'Union internationale pour la conservation de la nature, mais qui ont une affectation et un zonage de type « conservation ». » Il est donc bon de rappeler que les milieux inscrits au répertoire ne gagnent aucune mesure supplémentaire de protection. En fait, la Ville ne compte que 223 hectares de milieux naturels jouissant du statut juridique de protection pérenne d' « aires protégées ».
Sont invitées à cette Table « les différentes parties prenantes oeuvrant à la protection et à l'accessibilité des milieux naturels » de la région lavalloise, dont les groupes environnementaux, de loisirs et de plein air. Sauvons nos trois grandes îles déplore le fait qu'il sera exclu de ce « projet fédérateur » que représente la Table de concertation lavalloise. La raison invoquée par la Ville pour justifier l'exclusion de l'organisme est qu'il n'est pas un « organisme du milieu ». En effet, malgré la demande de reconnaissance municipale de Sauvons nos trois grandes îles, la Ville ne l'a jamais reconnu. Sauvons nos trois grandes îles est pourtant largement connu et reconnu pour son engagement vis-à-vis de la protection des trois grandes îles ainsi que pour son importante contribution à la protection, à l'acquisition et à la valorisation de la conservation des îles aux Vaches et Saint-Pierre acquises par la Ville en 2020.
Les membres du conseil municipal ont été unanimes à adopter le projet d'agrandissement du refuge faunique. Sauvons nos trois grandes îles se réjouit de l'inclusion future des îles aux Vaches et Saint-Pierre. L'organisme se questionne toutefois sur les usages que la Ville et Éco-Nature y permettront et sur le fait que les citoyens des zones environnantes ne seront pas consultés.
« Le comité exécutif de la Ville de Laval recommande au conseil municipal de donner son aval à la première étape de la création d'un des plus grands refuges fauniques en milieu urbain au Québec. Pour ce faire, la Ville propose d'inclure 432 lots municipaux, soit 568 hectares d'îles et de lots riverains ou en lien écologique avec la rivière, dans le refuge faunique de la Rivière-des-Mille-Îles. » Il est recommandé que deux des « trois grandes îles » que la Ville a acquises en 2020 soient intégrées au Refuge faunique.
Du 14 au 28 mai 2021, la Ville de Laval a tenu une consultation publique écrite sur le projet de règlement S.A.D.R.-1.4 modifiant le Schéma d'aménagement et de développement révisé aux fins, entre autres, d'affecter le secteur des îles aux Vaches et Saint-Pierre à la Conservation. Dans son mémoire transmis à la Ville, le Conseil d'administration de Sauvons nos trois grandes îles s'est dit « tout à fait favorable à ce que le Schéma d'aménagement et de développement inscrive les îles aux Vaches et Saint-Pierre dans la trame des « milieux naturels », et qu'il leur accorde l'affectation Conservation afin de pouvoir les soumettre à une réglementation adéquate. » L'organisme s'est dit réjoui de ce que la Ville accède à sa demande à l'effet d'adopter des mesures administratives visant la conservation de ces îles. Il a de plus réitéré sa demande de mesure juridique, soit l'intégration des deux îles au Refuge faunique de la Rivière-des-Mille-Îles. Cette mesure assurerait « la conservation pérenne du caractère « naturel » ainsi que de la biodiversité du secteur. »
Les trois grandes îles de l'archipel Saint-François : les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre
L'agrandissement du Refuge faunique et du parc de la Rivière-des-Mille-Îles : quels sont les enjeux pour le sort de nos trois grandes îles? L'archipel Saint-François verra-t-il enfin le jour?
En octobre 2020, la Ville de Laval est devenue la propriétaire des îles aux Vaches et Saint-Pierre grâce à un effort financier considérable de sa part, ainsi qu'à l'octroi d'une aide financière de 7 000 000 $ du gouvernement provincial. L'organisme demande au maire de Laval de respecter ses engagements auprès du gouvernement provincial et des citoyens lavallois.
« La ministre des Affaires municipales et de l'Habitation, Andrée Laforest, le ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques et ministre responsable de la région de Laval, Benoit Charrette et le maire de Laval, Marc Demers sont fiers d'annoncer l'acquisition de deux grandes îles de la rivière des Mille Îles, soit l'île aux Vaches et l'île Saint-Pierre. » …
C'est avec une joie inégalée que Sauvons nos trois grandes îles accueille la nouvelle : 85% de la superficie totale des trois grandes îles a été acquise à des fins publiques, soit les îles aux Vaches et Saint-Pierre. Cette acquisition de 160 hectares représente une avancée remarquable au plan de la protection des milieux naturels pour la Ville de Laval.
Au sujet des trois grandes îles, le ministre régional de Laval, Benoît Charette, informait le journaliste du courrier Laval que Québec accompagnerait la Ville « afin de lui permettre de devenir propriétaire et de protéger ce territoire-là pour faire en sorte que la population puisse en bénéficier. » En réaction à cette déclaration, l'organisme précise ses attentes en termes de conservation et de mise en valeur.
... « Laval souhaite adopte un nouveau rôle de leader en matière de protection des milieux hu- mides d'intérêt ... Cet ambitieux projet lui permettra d'élever à 12% la superficie des milieux naturels protégés par la réglementation et le régime de propriété sur son territoire, la rappro- chant de son objectif de protection de 14%. » ...
« Le comité exécutif de la Ville de Laval vient de recommander l'adoption d'un important rè- glement de contrôle intérimaire (RCI) visant la protection et la conservation des milieux hu- mides d'intérêt de son territoire. » ...
« Le Mouvement Ceinture verte tient à féliciter la Ville de Montréal pour les initiatives prises au cours des derniers mois concernant la protection des milieux naturels... Malheureusement, plusieurs villes de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) ne partagent pas le même intérêt pour la protection des milieux naturels... Il existe pourtant des possibilités très intéressantes, et à la porté des villes... ».
L'UMQ salue d'ailleurs l'intention du ministre des Finances d'utiliser les surplus pour lutter contre les changements climatiques. Rappelant les défis auxquels font face les gouvernements de proximité pour adapter leurs communautés à la crise climatique, l'Union souhaite que le prochain budget dégage de nouvelles sommes à la hauteur des besoins et des plans d'adaptation des municipalités.
La CMM demande au gouvernement du Québec de reconduire sa contribution au programme de la Trame verte et bleue. Son intention est de créer un réseau de parcs métropolitains struc- turant, ainsi que stimuler l'acquisition et la mise en valeur intégrée de milieux naturels.
« Dans une perspective de développement durable et de conservation de son patri- moine naturel, Laval souhaite depuis plusieurs années acquérir les 3 grandes îles que sont l'île Saint-Joseph, l'île aux Vaches et l'île Saint-Pierre... ». Pour y arriver, elle de- mande une aide financière.
En réponse aux multiples démarches auprès du gouvernement du Canada par la Ville de Laval, par l'organisme Éco-Nature ainsi que par Sauvons nos trois grandes îles, les candidats libéraux de Laval disent souhaiter travailler avec la Ville de Laval.
« Les quatre candidats libéraux de Laval s'engagent à travailler avec la ville pour assurer la protection des îles aux Vaches, Saint-Pierre et Saint-Joseph grâce au Fonds d'adaptation en matière de catastrophes naturelles. »
Le CRE (Conseil régional de l'environnement) de Laval invite les citoyens au grand débat du 3 octobre prochain. Selon le directeur général de l'organisme, Guy Garand, « Dans un contexte où notre environnement, la capacité de support des écosystèmes et notre démocratie sont de plus en plus fragilisés, aller voter est certainement une avenue plus garante pour notre avenir à tous. »
Parmi les sept demandes que la Ville adresse aux partis politiques, il en est une que Sauvons nos trois grandes îles salue particulièrement: « La Ville de Laval demande aux partis de s'engager à lui accorder une partie du financement nécessaire à l'acquisition des îles aux Vaches, Saint-Pierre et Saint-Joseph. »
L'organisme ne peut que féliciter la Ville de vouloir poursuivre les démarches qu'elle a amorcées en 2015 en vue de participer à un partenariat financier. On sait que celui de la Trame verte et bleue, qui regroupait le gouvernement provincial, la Communauté métropolitaine de Montréal ainsi que la Ville de Laval, a échoué faute de moyens financiers.
La présente demande d'aide financière de la Ville inscrit l'acquisition des grandes îles dans le cadre des actions à entreprendre pour faire la lutte aux Changements climatiques. Les experts de l'organisme lavallois Éco-Nature ont publié en 2010 un rapport intitulé Étude de la pertinence écologique de protéger les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre de l'archipel Saint-François. Selon cette étude scientifique, la très haute valeur écologique des grandes îles, leur riche biodiversité et les habitats floristiques et fauniques qu'elles possèdent, constituent un patrimoine naturel d'une valeur inestimable. De plus, la nécessité de protéger les trois grandes îles a été reconnue par plus de 41 000 citoyens, lesquels ont signé une pétition en 2010 pour demander l'acquisition des grandes îles à des fins de parc.
La machinerie lourde a envahi l'île Saint-Joseph et le coeur des riverains. Ni le décret provincial de mise en réserve, ni l'Entente tripartite de la Trame verte et bleue, ni la participation citoyenne des riverains, ni les efforts de Sauvons nos trois grandes îles n'auront réussi à sauver définitivement l'île Saint-Joseph. Devant ce constat d'échec, l'organisme demande à la Ville de bouger.
L'organisme se joint à la Ville de Laval pour affirmer la nécessité d'agir rapidement pour tenter de faire échec aux conséquences néfastes du réchauffement climatique sur l'habitat planétaire. La lutte doit viser simultanément la conservation des habitats terrestres, humides et aquatiques situés sur le territoire de la Ville, et la participation à la réduction des GES avec les autres paliers de gouvernement. D'autre part, Sauvons nos trois grandes îles reproche à la Ville le peu de gestes concrets posés en vue de la protection de la riche biodiversité des habitats des îles, et attribue au manque de courage politique le peu de moyens d'action qu'elle se donne. Les citoyens fous de nature n'ont pas oublié leur rêve d'un parc de conservation pérenne sur les grandes îles de l'archipel Saint-François.
La lutte citoyenne pour la protection de la riche biodiversité des îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre situées dans la rivière des Mille Îles à Laval prend un nouvel essor. L'organisme Sauvons nos trois grandes îles inscrit son mémoire dans la mouvance des récentes luttes citoyennes pour la protection de l'environnement.
À la suite de la Communauté métropolitaine de Montréal et de la Ville de Laval, Sauvons nos trois grandes îles proclame l'état d'urgence: le futur commence aujourd'hui. La lutte aux changements climatiques et à la destruction de la biodiversité sera d'abord une lutte à la facilité et au confort de l'esprit.
En 2018, l'organisme s'inquiète toujours du sort de ce joyau pour lequel il n'y a pas de comparable dans la région…
Madame Francine Charbonneau, ex-députée de Mille-Îles et ex-ministre responsable de la région de Laval, a assuré Sauvons nos trois grandes îles qu'advenant sa victoire aux prochaines élections provinciales, le Parti Libéral maintiendrait son engagement à protéger les trois grandes îles...
Concernant l'imposition d'une réserve pour fins publiques...
L'entente de principe n'a pas obtenu l'aval du gouvernement
La Ville de Laval informe la population que le gouvernement du Québectout comme la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM)ont refusé de contribuer à part égale avec la Ville de Laval à l'acquisition des îles aux Vaches et Saint-Pierre selon un montage financier d'une valeur de 21 M$ convenu avec le propriétaire.
Les citoyens lavallois demandent aux candidats qui se présenteront aux prochaines élections provinciales de prendre des engagements clairs sur un certain nombre d'enjeux environnementaux dont la protection des trois grandes îles. L'opération Vire au vert visera particulièrement trois circonscriptions: Laval-des-Rapides, Vimont et Sainte-Rose.
Lors d'une entrevue accordée à S. St-Amour le 28 mai dernier, les experts des groupes environnementaux lavallois se sont prononcé sur l'avenir du bois du Trait-Carré.
À l'instar de ces experts, Sauvons nos trois grandes îles est d'avis que la Ville devrait reporter sa décision au sujet des friches qui se trouvent à la périphérie de ce Bois. La décision relative à la conservation de toutes les friches se situant sur le territoire de Laval incluant celles des trois grandes îles, ne doit être ni improvisée ni balayée du revers de la main. Les friches participent à la richesse des milieux naturels et elles méritent de la part les élus municipaux un moment de réflexion et de discussion avec les citoyens.
L'organisme s'inquiète de la position que prend la Ville au sujet de certaines demandes qu'il maintient depuis 2008 : la sauvegarde de trois îles ainsi que leur conservation dans leur entièreté. Il semble que la Ville veuille laisser tomber l'île Saint-Joseph, et morceler les deux autres. À cela s'ajoute le fait que la Ville s'est dite favorable à l'exemption de l'approbation référendaire.
Claire Roger, membre de Sauvons nos trois grandes îles, a milité au sein de l'OLÉA (sur la photo à gauche) contre le projet d'Oléoduc Énergie Est.
Sa lutte actuelle pour conserver le droit aux référendums ramène l'organisme vers son passé le plus lointain, celui de la politique municipale. À partir des années 90, les Lavallois ont compris que la protection des milieux naturels passait par celle des droits démocratiques. Plus précisément par le droit aux référendums.
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Ces groupes, dont Sauvons nos trois grandes îles, demandent à la Ville de se donner des outils qui lui permettront de « conserver adéquatement: 17% du territoire en milieux naturels, 30% du couvert forestier, 100% des milieux hydriques, humides et riveraines ainsi que l'eau souterraine, ainsi qu'au moins 20 écoterritoires interconnectés et à distance de marche pour les citoyens. » la lettre commune est en fichier joint
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Selon les auteurs, leur projet « s'inscrit parfaitement dans le Cadre d'aménagement que doit respecter la Ville de Laval ». Ils demandent entre autres que la Ville retire du Schéma son propre projet de parachèvement du boulevard du Souvenir, et qu'elle attribue « au Boisé du souvenir le statut de « bois d'intérêt municipal ».
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« Dans son mémoire, Éco-Nature partage certaines préoccupations ... et propose des pistes de réflexion ... » . Entre autres, l'organisme exprime son inquiétude vis-à-vis l'affectation Protection que la Ville prévoit accorder aux trois grandes îles, et, à l'instar de Sauvons nos trois grandes îles, il recommande plutôt un statut de conservation légalement reconnu. En conclusion, Éco-Nature recommande à la Ville de « reconnaître l'importance et le rôle du Parc de la Rivière-des-Mille-Îles et en faire une partie intégrante du schéma d'aménagement. » On sait que le projet dela Trame Verte et Bleue voue les trois grandes îles à la conservation, et les destine à agrandir le Parc de la Rivière-des-Mille-Îles.
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Membre associatif de Sauvons nos trois grandes îles, le CPEFS a participé aux rencontres d'information et de consultations publiques de la Ville. À l'instar des autres groupes environnementaux de Laval, l'organisme plaide en faveur de la conservation des milieux naturels. « Les citoyens s'attendent de leur municipalité à une véritable conservation des milieux naturels qui sont perçus comme des joyaux collectifs faisant partie du patrimoine de leur milieu de vie... Ville de Laval est appelée à considérer des mesures particulières aptes à assurer une conservation des Trois Grandes Îles de la rivière des Mille-Îles... ».
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Le mémoire est écrit conjointement par les deux organismes. Voué à une affectation industrielle et commerciale, « Pourtant ce secteur est constitué de milieux naturels et physiques exceptionnels; boisés, milieux humides, friches, avares et grotte qui abritent des espèces végétales et animales à statut précaire, tel que le Petit Blongios. »
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La vision stratégique de Laval, Urbaine de nature, exprime on ne peut plus clairement la dualité lavalloise. Le béton surveille les milieux humides, les boisés, les îles, bref les habitats floristiques et fauniques. Il sait que ce n'est qu'une question de patience. Si la vision stratégique de Laval tient compte du caractère naturel de la ville, la visée de la nouvelle administration municipale s'exprime avec difficulté et se dirige plutôt vers l'urbanité. Avec l'aide du projet de loi 122 du ministère des affaires municipales et de l'occupation du territoire.
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L'auteur de ce mémoire a été président de l'organisme Patrimoine en tête pendant plus de dix ans. Il a présenté ce mémoire dans le cadre de l'opération Repensons Laval le 15 novembre 2014.
P. Gariépy soulève quelques-unes de ses préoccupations, réfléchissant de manière globale sur la réalité lavalloise et sur les améliorations que l'Administration municipale pourrait apporter, entre autres, par la création d'une réelle politique de l'urbanisme, et par un plus grand intérêt pour le patrimoine naturel et bâti. Au sujet des milieux naturels, l'auteur suggère un parc sur les trois grandes îles.
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Entre autres, la Ville demande au Gouvernement du Québec « que la délimitation des aires de requalification ne fasse pas partie du contenu du schéma d'aménagement et de développement soumis à la conformité aux orientations gouvernementales et au PMAD ». De plus, la Ville « accueille favorablement les articles ... soustrayant à l'approbation réglementaire les modifications réglementaires touchant des zones de requalification inscrites dans son document de planification en urbanisme ». Enfin elle demande le droit de présenter à la population toute la révision de la réglementation de zonage et de lotissement et de soumettre le tout en bloc à l'approbation référendaire de la population.
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La lecture du SADR-1 ramène au premier plan la question de la protection et de la conservation des milieux naturels à Laval. Il est apparu à l'organisme que la Ville de Laval avait opté pour une solution politique. Sauvons nos trois grandes îles s'est penché sur la question de la protection et de la conservation des droits des citoyens à décider de l'avenir de leur Cité. L'organisme a revisité la question des zones RX ainsi que celle des zones franches d'approbation référendaire.
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Le CPESF, membre associatif de Sauvons nos trois grandes îles, a déposé un mémoire clair et concis au Bureau d'audiences publiques sur l'Environnement (BAPE) le 20 avril 2016.
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…le comité exécutif de la Communauté a résolu de retenir huit nouveaux projets…
L'approche de la Ville vis-à-vis des trois grandes îles est celle d'un développeur. Ce que l'organisme demande, ce n'est pas l'exploitation mais plutôt la conservation…
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Sauvons nos trois grandes îles interpelle le ministre David Heurtel, le président de la Communauté métropolitaine de Montréal M. Denis Coderre et le maire de Laval M. Marc Demers.
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« Des organismes membres du CRE de Laval, oeuvrant pour la protection des milieux naturels, unissent leurs voix et interpellent le gouvernement provincial afin que soient protégées les îles … »
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« Devant l'imminence du terme de la mise en réserve et l'absence de position gouvernementale officielle … »
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« En conclusion, ce mémoire profite de la présente consultation pour démontrer que le projet de parachèvement du boulevard su Souvenir - qui menace le dernier boisé de Laval-des-rapides— participe plus au réchauffement climatique qu'il n'offre de solution durable à ce problème. »
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Le rêve commence à prendre forme. Les Comité exécutif de la Ville de Laval et de la Communauté métropolitaine de Montréal ont adopté des Ententes de partenariat financier avec le Gouvernement du Québec pour l'acquisition des trois grandes îles ...
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Comme par le passé l'organisme s'est intéressé aux élections et aux positions des différents partis relativement au sort des trois grandes îles. Lynda Briguène du Parti Vert, Rosane Doré Lefebvre du NPD, Gabriel Purcarus du Parti Conservateur et Daniel Saint-Hilaire du Bloc Québécois ont répondu à notre invitation. Nous les remercions et souhaitons une bonne fin de campagne à chacun.
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« Grâce au pont qui y mène, l'île Saint-Joseph est sans conteste la plus menacée des trois, et ce, aujourd'hui autant qu'hier en 1992. […] Tel que le stipule le décret, le gouvernement doit acquérir les trois grandes îles avant le printemps 2016 afin d'augmenter les aires protégées de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). »
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« En s'opposant clairement et vigoureusement à l'installation d'un oléoduc par Trans-Canada dans l'est du territoire lavallois, et en invitant au rassemblement, le maire Demers pose un geste politique important et cohérent. »
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« La Ville de Laval s'oppose à ce projet, non seulement sur son territoire, mais dans son intégralité. Le maire a d'ailleurs appelé à une vaste mobilisation... »
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« Pour Sylvain Perron, coordonnateur du Mouvement Ceinture Verte, cette initiative est prometteuse pour la protection des milieux naturels et des milieux agricoles… ».
Rescousse, un organisme qui contribue à la promotion et à la protection de la biodiversité québécoise, a remis à Sauvons nos trois grandes îles une bourse ...
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Sauvons nos trois grandes îles est d'avis que le gouvernement, la CMM et la ville de Laval doivent s'entendre pour que les îles soient acquises en 2015 et qu'un cadre juridique adéquat leur assure une protection entière et inaliénable.
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« ... le renouvellement de la mise en réserve indique la direction vers laquelle il faut tendre: réaliser, à l'intérieur des deux prochaines années, la protection entière des trois grandes îles. »
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« Le projet de Parc de la rivière des Mille-Îles consiste à doter le Grand Montréal d'un imposant parc-nature véritablement protégé constitué d'un chapelet de destinations locales et régionales et de lieux de conservation des milieux naturels. »
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Nous félicitons chaleureusement Mme Francine Charbonneau, députée de Mille-Îles. Nous avons travaillé avec Mme Charbonneau pendant quatre ans, et sommes optimistes pour le futur.
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Sauvons nos trois grandes îles se réjouit des engagements exprimés par M. Jean Poirier, candidat du Parti québécois dans Vimont, et par Mme Francine Charbonneau candidate du Parti libéral dans Mille-Îles.
S'il est élu, le Parti québécois poursuivra les démarches qui ont été amorcées avec ses deux partenaires, la CMM et la Ville de Laval, afin de protéger les trois grandes îles et de réaliser ainsi l'un des projets de la Trame verte et bleue: un parc de la rivière des Mille Îles. La première étape sera de reconduire la mise en réserve, visant une protection provisoire de deux années supplémentaires.
Mme Francine Charbonneau quant à elle, assure que le Parti libéral, s'il est élu, reconduira la mise en réserve pour un nouveau terme de deux années. Pendant ce temps, le gouvernement devrait non seulement acquérir les îles mais de plus se donner un plan pour leur mise en valeur.Sauvons nos trois grandes îles questionne les élus provinciaux et municipaux: quand les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre jouiront-elles d'une protection permanente dans leur intégralité?
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Nous vous invitons à regarder les nouvelles photos qui composent notre carrousel au haut de cette page. L'une d'entre elles vous permettra enfin de mettre des visages sur les noms des administrateurs actuels et anciens qui ont travaillé ardemment à remplir la mission de notre organisme.
Nous remercions chaleureusement Messieurs Sylvain Dorion, Hugues Labelle, François Pelland, et Yves Varin pour leur généreuse contribution au carrousel.
Notre collection de photos s'est enrichie d'un nouvel album. Vous pourrez admirer les photographies d'art de M. Sylvain Dorion; ses images constituent notre album-photo art et nature. M. Dorion a su utiliser la lumière naturelle qui se pose sur nos paysages pour en révéler leur beauté.
M. Back, artiste environnementaliste illustrateur et cinéaste, homme d'une remarquable générosité et d'une grande simplicité, s'est éteint.
Témoignant de son vécu et de son attachement pour la rivière des Mille Îles, et appuyant les démarches que notre organisme a entreprises dans le but de protéger les trois grandes îles, M. Back s'est adressé à notre organisme à deux reprises en 2012.
Son geste nous a beaucoup touchés et honorés.
Le vent tourne à Laval et dans la grande région métropolitaine: la protection des milieux naturels se présente comme un enjeu de plus en plus important pour nos futurs élus municipaux. En fait foi cette série de nouveaux articles parus depuis la mi-octobre et disponibles dans la section "Dans les médias".
Sauvons nos trois grandes îles a invité les candidats à la mairie de Laval à partager avec l'organisme et avec la population leur intention d'implication dans la réalisation d'un parc comprenant les trois grandes îes de la rivière des Mille Îles.
Les candidats suivants ont été rencontrés: Robert Bordeleau du Parti au Service du Citoyen, Marc Demers du Mouvement Lavallois, Jacques Foucher, indépendant, Jean-Claude Gobé de Action Laval. Nous n'avons pu rejoindre ni Mme Goupil-Nantel ni M. Racicot ni Claire Le Bel.
Nous avons transmis à chacun des candidats rencontrés un document présentant un bref historique de l'évolution du dossier des trois grandes îles. Ils furent par la suite invités à répondre à trois questions concernant respectivement leur position vis-à-vis de: la demande de Sauvons nos trois grandes îles, le leadership futur de la Ville, la mise en réserve des trois grandes îles. Le dossier des trois grandes îles étant très avancé, les questions furent pointues.
M. Guy Landry a été rejoint mais il n'a pas répondu à nos questions.
Lire la synthèse des Questions de l'organisme, et des Réponses des candidats à la mairie [PDF]
Un soutien financier et un appui moral de très grande valeur!
Dans le cadre d'un programme de sensibilisation à l'importance de préserver les milieux naturels constituant l'écosystème québécois, des élèves de l'École d'éducation internationale de McMasterville ont amassé la somme de 110$. À notre grande joie, les élèves responsables de ce programme ont choisi de remettre cet argent à notre organisme afin de nous supporter dans nos efforts. Mentionnons que l'argent a été obtenu via des dons directs et la vente de canettes.
Notre organisme retire une immense fierté de l'implication bénévole et de solidarité de ces jeunes qui reconnaissent la valeur de notre projet. Ce support, autant par le volet financier que moral, représente pour nous une preuve claire de l'importance de poursuivre l'atteinte de nos objectifs de protection de ces milieux naturels que sont les trois grandes Îles.
Pour eux, pour leurs collègues étudiants et pour tous ceux qui nous ont toujours encouragés, mille mercis! C'est avec la même détermination et une énergie toujours renouvelée par vos encouragements que nous poursuivrons nos efforts.
Sauvons nos trois grandes îles supplie la Ville de Laval de travailler de concert avec le gouvernement et avec la CMM pour acquérir les trois grandes îles afin d'assurer leur protection, puis leur mise en valeur.
Les députés de Laval ont mis de côté leurs différends politiques et, de façon conjointe, avec les représentants des groupes environnementaux, soit Sauvons nos trois grandes îles, Éco-Nature et le Conseil régional de l'environnement de Laval, ils ont déposé hier soir une déclaration commune demandant à la Commission régionale de développement de Laval (CRDL) d'inclure la protection des trois grandes îles dans le cadre de l'adoption de son plan de développement quinquennal 2013-2018.
Nous vous invitons à visiter notre section Photos aériennes, qui s'est enrichie de nouvelles photos d'un style particulier. Elles nous ont été offertes gracieusement par M. Sylvain Dorion, photographe et infographiste bénévole de notre organisme. M. Dorion a photographié les îles à l'aide d'un drone.
Dans une lettre qu'il avait adressée à Sauvons nos trois grandes îles le 10 mars 2012, M. Frédéric Back, artiste québécois de renommée internationale, félicitait et remerciait toutes les personnes qui avaient travaillé ensemble afin de protéger les trois grandes îles.
Neuf mois plus tard, M. Back se joint à Sauvons nos trois grandes îles pour demander la protection permanente des trois grandes îles ainsi que du milieu aquatique dans lequel elles baignent.
Les trois grandes îles sont menacées de façon "imminente" depuis vingt ans. À quand l'acquisition?
Lors des dernières élections provinciales tenues à la fin de 2008, les cinq députés libéraux lavallois faisaient, de la protection des trois grandes îles, un enjeu électoral régional. Au printemps 2012, le gouvernement décrétait une mise en réserve pour les trois grandes îles.
Que reste-t-il à faire pour obtenir une protection permanente?
Suite [PDF]
La candidate de Vimont, Mme Tousignant, appuiera "toute mesure favorisant l'augmentation des aires protégées."
« …la mise en place (d'un tel sentier, d'Oka à Mont Saint-Hilaire) …est un des volets importants du projet d'une Trame verte et bleue métropolitaine… »
Sauvons nos trois grandes îles est très heureux de constater que le gouvernement a posé des gestes concrets afin que ce qui fut d'abord un rêve, la protection des îles à des fins de parc, puisse non seulement devenir bientôt réalité, mais que, de plus, un parc voie le jour le long de la rivière des Mille Îles.
En effet, lors de la présentation du budget de M. Raymond Bachand, ministre des Finances, le gouvernement a annoncé qu'un parc sera créé « le long de la rivière des Mille Îles afin de protéger et de mettre en valeur plusieurs éléments du milieu naturel ». Ce projet de parc a été présenté comme « porteur et mobilisateur », et sera finalisé par la Communauté métropolitaine de Montréal. Il viendra préciser, entre autres, le type de mise en valeur qui sera retenu pour les trois grandes îles que le gouvernement a déjà mises en réserve à des fins d'« aires protégées ».
Pour l'instant, ce « parc » n'est qu'un concept. Sauvons nos trois grandes îles s'engage à travailler dans le futur en collaboration avec les partenaires du parc dans le but de définir la section du parc qui visera les trois grandes îles.
Ces bonnes nouvelles amènent Sauvons nos trois grandes îles à réviser son plan d'action. Entre autres, si l'organisme maintient son désaccord avec l'idée des zones franches d'approbation référendaire telle qu'énoncée dans le Projet de loi 47, et s'il continue d'être théoriquement d'accord avec les organismes qui s'y opposent activement, par contre, en toute cohérence, Sauvons nos trois grandes îles a décidé de suspendre sa participation au sein de la Coalition pour une Démocratie au Québec, et de se vouer entièrement à sa mission : la création d'un parc.
« ... investissement de 50 M$ sur cinq ans afin de développer certains projets porteurs et mobilisateurs visant l'établissement de la Trame verte et bleue du grand Montréal... »
M. Frédéric Back, artiste québécois de renommée internationale, félicite et remercie toutes les personnes qui ont « agi ensemble » afin de protéger les trois grandes îles.
Selon M. Michel Seymour, le porte-parole de la Coalition, « Ce concept de « zone franche d'approbation référendaire » en est un de « zone franche de démocratie ».
Les membres de la Coalition luttent pour que le gouvernement continue de leur reconnaître un rôle consultatif et décisionnel lorsqu'il est question du devenir de l'environnement bâti et naturel de leur ville ou municipalité. Ils exigent le retrait des articles 82 et 205 du projet de loi 47 qui veut les déposséder de leur droit actuel de participer activement à la démocratie municipale, et, par ricochet, à la protection de leur patrimoine. En mai 2011, Sauvons a acheminé un mémoire au MAMROT en réaction à la présentation de son avant-projet de loi. Ce mémoire est accessible dans la section « Documentation » de notre site. La mise en réserve que le gouvernement vient d'accorder aux trois grandes îles ne les protège que de manière provisoire. Seule l'acquisition à des fins d'aires protégées leur assurerait une protection permanente. C'est dans ce contexte que Sauvons nos trois grandes îles a pris la décision de se joindre aux groupes de la Coalition.
Cette Coalition « rassemble plusieurs groupes qui se sont engagés de différentes façons dans des luttes visant à maintenir ou à renforcer la démocratie municipale. » Ces groupes rejettent le concept de « zones franches d'approbation référendaire » que prévoit, à la suite de l'avant-projet de loi, le projet de loi 47 mis de l'avant en décembre 2011 par le Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire ( MAMROT).
« La mise en réserve des îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre annonce une contribution majeure à la Trame verte et bleue du Grand Montréal », déclare M. Massimo Lezzoni, directeur général de la Communauté.
« Ces îles sont une des pièces importantes de la trame verte et bleue du grand Montréal, tant par leur localisation que par la grande richesse de leurs écosystèmes. Il est essentiel de les protéger », a affirmé Karel Mayrand, directeur général pour le Québec de la Fondation David Suzuki.
« La mise en réserve des trois îles de Laval en vue de leur protection constitue une excellente nouvelle... C'est aussi un geste politique important qui confirme la priorité que l'on doit accorder à la protection de nos espaces naturels, trop souvent dévalorisés au profit du développement.... »
« La décision de mettre en réserve ces 3 îles à des fins publiques… »
Aux yeux de Nature Québec, « ce geste du gouvernement est important considérant la valeur écologique de ces trois îles... »
L'annonce « fait écho aux nombreux efforts de notre organisme et du même coup au soutien sans équivoque de la population... »
« (…) les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre (…) » « Je sais que les gens d'ici éprouvent un attachement profond pour cette rivière et pour les mille îles qui lui valent son nom. Ce chapelet d'îles est particulier au Québec. Il est situé dans l'une des zones les plus riches et les plus diversifiées sur le plan environnemental » de dire la ministre Michelle Courchesne.
« En veillant ainsi à la sauvegarde de cet espace, tous les citoyens dépendants de cet environnement peuvent se garantir une meilleure santé physique et psychologique »
Sauvons nos trois grandes îles a modifié cette section. Elle comprend pour le moment sept mémoires.
Le 18 octobre 2011, en même temps qu'une vingtaine d'autres organismes, Sauvons nos trois grandes îles présentait publiquement le mémoire qu'il avait acheminé à la commission de l'aménagement de la Communauté métropolitaine de Montréal. Notre organisme n'est pas le seul à avoir recommandé la protection des trois grandes îles. En effet, le CRE de Laval, le CRE de Montréal, le Comité pour la protection de l'environnement Saint-François, ainsi qu'Éco-Nature ont aussi recommandé à la CMM de protéger les îles. Vous pouvez consulter deux de ces mémoires dans notre section Documentation.
Au mois de mai dernier, dans le cadre d'une vaste consultation publique, Sauvons nos trois grandes îles a demandé au MAMROT de ne pas donner suite à certains articles de son avant-projet de loi selon lesquels les Villes pourraient unilatéralement changer le zonage de certaines zones de leur territoire sans que les citoyens puissent recourir à une demande de référendum. Cette consultation est terminée. La prochaine étape : la rédaction et la consultation publique pour le projet de loi. Vous pouvez consulter notre mémoire dans notre section Documentation.
« Au cours des prochains jours, les députés de la région rencontreront les partenaires intéressés à la protection des trois grandes îles afin de discuter des conclusions du rapport. »
Les députés « souhaitent rappeler qu'ils ont toujours été et qu'ils demeureront des partenaires importants de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles de la Rivière des Mille-Îles qui a pour mission la protection, la conservation, et la mise en valeur des îles St-Joseph, St-Pierre et aux Vaches. »
Aujourd'hui, notre pétition, qui a cours depuis juin 2008, a été présentée à l'Assemblée nationale du Québec. Notre organisme demande au gouvernement qu'un moratoire de 3 ans soit décrété sur tout projet de développement touchant les trois grandes îles, afin d'en permettre l'acquisition à des fins de parc.
Plus de 15 000 personnes ont signé notre pétition manuscrite. Dans le but d'augmenter le nombre de signatures de la version électronique de notre pétition, nous avons demandé à nos 10 000 signataires de la pétition électronique d'inviter UNE personne de leur entourage à signer à son tour.
Si l'on tient compte du fait qu'un certain nombre d'entre eux avaient déjà sollicité leur entourage, que d'autres, ayant changé d'adresse, n'ont pu être rejoints, nous ne pouvons qu'être heureux de constater qu'un grand nombre de citoyens ont exprimé leur solidarité envers la cause de la protection des îles. À ce jour, 11 750 personnes ont signé notre pétition électronique.
Afin d'augmenter l'impact de notre pétition auprès de nos élus provinciaux et municipaux, nous vous invitons à poursuivre vos recherches de signataires puisque notre pétition se poursuit jusqu'au printemps. Nous vous informerons des progrès de notre pétition ainsi que de la date de son dépôt à l'Assemblée nationale ici-même, dans nos Actualités.
Les rebondissements des derniers mois, dont ont fait état les journaux, semblent avoir eu pour effet de créer une certaine confusion.
Rétablissons les faits :
La pétition se poursuit afin qu'un zonage adéquat protège les îles, que celles-ci soient acquises, et que l'on crée un parc de conservation et de mise en valeur écotouristique et récréative.
Aidez-nous en invitant vos connaissances à signer en ligne.
L'organisme cessera ses activités le 2 juin prochain. Il quittera avec le sentiment du devoir accompli. Les îles aux Vaches et Saint-Pierre, acquises par la Ville en 2020, sont affectées à la conservation. Quant à l'île Saint-Joseph, « … il nous semble que la présente conjoncture soit plutôt favorable à la protection de l'île Saint-Joseph, à sa sauvegarde, à son acquisition et à la valorisation de sa richesse écologique », peut-on lire dans un long témoignage cosigné par les administrateurs François Bilodeau, Marcel Bruneau, Danielle Comtois, Ginette Grenier, Pierre Hupin, Hugues Labelle, Huguette Larochelle, Claire et Paul-André Roger. »
« N'eût été leur action, jamais les îles aux Vaches et Saint-Pierre n'auraient été acquises aux fins de conservation, l'île Saint-Joseph serait habitée d'une rive à l'autre et l'urbanisation aurait avalé de grands pans de milieux naturels riverains, et ce, aux quatre coins de l'île Jésus. »
La Ville de Laval possède moins de 1 % de son territoire en aires protégées. De plus, plusieurs des « milieux naturels sont exclus d'office du Registre des aires protégées en raison des droits d'exploration et d'exploitation des ressources consenties dans le passé. C'est notamment le cas « partout dans Saint-François », indique le maire Stéphane Boyer en parlant des claims miniers. ». Saisi de cette information, Sauvons nos trois grandes îles s'interroge sur la possibilité, pour les îles aux Vaches et Saint-Pierre, d'être incluses dans le refuge faunique. La Ville est pourtant tenue par Québec d'adopter, pour ces îles, des mesures juridiques de conservation. Leur inscription au Répertoire de la CMM n'ajoute aucune protection supplémentaire à celle que leur confère présentement le Schéma d'aménagement et de développement de la Ville.
« Près d'un cinquième (18,3 %) du territoire de l'île Jésus est protégé soit par cadre réglementaire ou par régime de propriété. …Des 4872,5 hectares de milieux naturels appartenant à la Ville et/ou frappés d'un zonage de protection municipale, seulement 223 hectares ont le statut d'aire protégée conformément aux critères établis par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) … «Parce que ces milieux naturels ne sont pas reconnus comme des aires protégées, rien n'empêche la Ville de les vendre à un promoteur ou à les céder au Centre de services scolaire comme elle l'a fait pour une partie du boisé du Trait-Carré», faisait valoir en janvier dernier l'environnementaliste (Guy Garand) lors d'un entretien avec le Courrier Laval. »
« Au moment où plusieurs municipalités font face à la « lourdeur bureaucratique » de Québec et à de fortes pressions immobilières, la Ville de Laval peut se targuer d'avoir dépassé ses cibles de protection des milieux naturels … »
« Sauvons nos trois grandes îles (STGI) a accueilli avec enthousiasme l'inclusion des îles aux Vaches et Saint-Pierre au projet d'agrandissement du Refuge faunique de la Rivière-des-Mille-Îles. » Toutefois, les représentants d'Éco-Nature et de la Ville de Laval n'hésitent pas à parler d'activités récréotouristiques, ce qui, selon STGI, va à l'encontre de certaines promesses, engagements et ententes.
« L'obtention du statut de refuge faunique pour ces terrains devrait permettre d'en améliorer l'accès pour les citoyens, ainsi qu'offrir une meilleure protection pour ces milieux naturels et les quelque 350 espèces qui y vivent. »
« Laval entend multiplier par vingt la superficie du refuge faunique de la Rivière-des-Mille-Îles, avec l'ajout de 568 hectares de terrains municipaux qui bénéficieront d'un statut de protection reconnu par Québec… Les 432 lots qui viendront agrandir le refuge sont des propriétés municipales. De ce nombre, on compte les îles aux Vaches et Saint-Pierre, que la Ville de Laval avait acquises en octobre 2020 pour 21,9 millions de dollars avec la contribution du gouvernement du Québec à la suite d'une longue saga… Quant à l'île Saint-Joseph, que Laval avait tenté d'acheter en même temps que les îles aux Vaches et Saint-Pierre il y a quelques années, un litige subsiste entre la Ville et le propriétaire, Luigi Liberatore, qui souhaite y faire du développement immobilier.. »
« En clair, la Ville propose d'inclure au refuge pas moins de 432 lots municipaux totalisant une superficie de 568 hectares d'îles et de terrains riverains ou en lien écologique avec la rivière…Le nouveau maire Stéphane Boyer n'aura pas mis de temps à mettre en chantier sa première promesse électorale… Bien que la plupart de ces milieux naturels soient déjà protégés par la règlementation municipale, l'obtention du statut de refuge faunique leur conférerait une protection et une conservation pérennes… «Le refuge abrite près du deux tiers des espèces de la faune québécoise, rappelle le maire par voie de communiqué. En protégeant et en connectant ces milieux les uns avec les autres, nous permettrons la survie et la reproduction des centaines d'espèces animales et végétales qui y vivent, en plus d'assurer aux Lavallois un accès enviable au patrimoine naturel.»… Christine métayer, la directrice générale d'Éco-Nature, soutient que « le statut de refuge peut autoriser en certains milieux la pratique de diverses activités récréatives dans le respect de la faune, des habitats et des écosystèmes… « … le ministre Pierre Dufour, responsable de l'application de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune, déclare qu'«il s'agit d'une étape importante et d'un atout de taille dans le projet d'agrandissement du refuge faunique de la Rivière-des-Mille-Îles réalisé par nos biologistes en collaboration avec Éco-Nature. »
Le propriétaire de l'île, Luigi Liberatore, reproche à la Ville les dommages « qu'ils nous (lui) ont fait subir ». Il compte vendre « huit lots distincts dont les superficies oscillent entre 50 000 et 2,5 millions de pieds carrés … ». Ces lots constitueraient le « Domaine de la tortue ».
« La Ville de Laval nie toute situation d'expropriation déguisée dont se dit victime le propriétaire de l'île Saint-Joseph, Luigi Liberatore, et défend le caractère raisonnable de sa décision de refuser sa demande de services municipaux. »
« Le chef du Mouvement lavallois et candidat à la mairie, Stéphane Boyer, souhaite participer à la création de la plus grande réserve faunique du Québec en milieu urbain. … « Cette idée suscite beaucoup d'enthousiasme, a déclaré M.Boyer par voie de communiqué. Après l'acquisition des deux grandes îles (de l'archipel Saint-François), on peut dire que le projet arrive à maturité. À cette étape-ci, ce n'est qu'une question de leardership ». … selon la directrice générale d'Éco-Nature, Christine Métayer, cela pourrait aller assez rondement. »
Stéphane Boyer promet de transformer le parc de la rivière des Mille-Îles en une immense réserve faunique. L'agrandissement du Refuge faunique et du Parc viserait à connecter la rivière, ses îles, ses berges, ainsi que les terrains en rive, afin de les rendre accessibles aux citoyens. La Ville est devenue la propriétaire des îles aux Vaches et Saint-Pierre, mais il en restes d'autres à acquérir et à intégrer au Refuge faunique et au Parc.
« L'administration Demers-Boyer allonge 200 000 $ dans un ambitieux projet récréotouristique piloté par Éco-Nature, l'organisme gestionnaire du Parc de la Rivière-des-Mille-Îles. » Ce projet vise à rendre accessibles aux citoyens la rivière des Mille-Îles, ses rives et ses berges. S'inscrivant dans le cadre de la Trame verte et bleue de la grande région métropolitaine, il consolidera le réseau lavallois.
« Dans le cadre de notre série « Regards sur le paysage » … nous vous livrons une sélection de quelques-unes de ces réponses, une déclaration d'amour au territoire. » Sauvons nos trois grandes îles doit à Marcel Bruneau, membre de l'organisme, un grand nombre de photos accessibles dans notre site web, ainsi que la quatrième photo reproduite dans cet article du Devoir.
« La mise à jour de la Loi sur la conservation du patrimoine, adoptée en février 2021, afin d'accélérer la mise en place de mesures de protection » … devrait conduire le gouvernement à mieux protéger le sud de la province.
Dans sa Lettre ouverte au maire Demers, Sauvons nos trois grandes îles demandait à la Ville de lever l'ambiguïté du terme « protection » tel qu'appliqué par la Ville aux îles aux Vaches et Saint-Pierre. L'organisme demandait à la Ville de dire clairement qu'elles seront vouées à la conservation.
L'article de Stéphane St-Amour présente la réaction de la Ville à la Lettre ouverte de l'organisme. La video produite par la Ville et jointe à l'article promeut la protection des îles, et le Cabinet du maire affirme que « la meilleure façon de les protéger, (c'est nous qui soulignons) c'était définitivement de les acheter. »
Sauvons nos trois grandes îles demeure soucieux puisque l'ambiguïté n'est pas levée, et que les terrains que la Ville acquiert ou possède déjà, ne sont pas nécessairement voués à la protection ou à la conservation.
Dans sa même lettre, au sujet de la « protection » des îles, Sauvons nos trois grandes îles demandait à la Ville de poser des gestes concrets pour leur conservation : prendre des mesures administratives et juridiques afin que soit conservée la biodiversité des îles aux Vaches et Saint-Pierre récemment acquises. La Ville n'a malheureusement pas répondu à cette demande.
Qui plus est, selon M. Banville, c'est seulement suite à une consultation publique que la Ville décidera si elle respecte les engagements de conservation qu'elle a déjà pris auprès du ministère des Affaires municipales et de l'habitation. Pourtant, la Convention signée par la Ville ne faisait aucunement mention de cette condition à la signature.
Pour Sauvons nos trois grandes îles, la réaction de la Ville est plus que décevante. Elle ne fait qu'ajouter à la confusion et à l'inquiétude des citoyens, et à l'imbroglio autour du statut des deux grandes îles.
« La protection des milieux naturels en zones urbaines et périurbaines est un enjeu majeur pour le Québec. Il requiert une attention prioritaire et immédiate. » Les cosignataires, dont des représentants de Nature-Québec, de la Coalition Verte, de SNAP Québec, de la Fondation David-Suziki et de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles, invitent les citoyens à ajouter leur nom à ceux des cosignataires déjà inscrits.
« Le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Laval persiste et signe: l'administration Demers doit protéger non pas 14, mais bien 17% de l'ensemble de son territoire… ».
Le président du conseil d'administration, Sylvain Loranger, « ne tarit pas d'éloges à l'endroit de son ex-directerur général qu'il dépeint comme « un grand visionnaire ». »
« … le CRE de Laval estime que tous les milieux naturels, et pas uniquement les milieux naturels d'intérêt, doivent bénéficier d'un statut de conservation particulier. »
Claude Larochelle, conseiller municipal de Fabreville, Michel Trottier, chef de l'opposition officielle, ainsi que Michel Poissant, conseiller indépendant de Vimont, « ont enregistré leur dissidence à l'égard de la résolution autorisant l'échange d'un lot dans la transaction impliquant deux des trois grandes îles de l'archipel Saint-François. »
« L'initiative vise à protéger l'environnement de ces deux îles situées au nord-est de Laval, tout juste à l'ouest de l'autoroute 25. »
Selon le maire Demers, « Jamais une Ville n'a contribué à l'achat d'îles ou d'un parc. » Le fait de disposer d'un parc régional de conservation sur la rivière représente pour la Ville « une valeur aussi grande que le mont Royal pour l'île de Montréal », soutient le principal intéressé. »
Pour le maire Demers, « Ça peut devenir une vitrine formidable pour instruire les gens sur l'importance de l'environnement. Et, évidemment, toute la faune et la flore qui nous entoure ».
« Sauvons nos trois grandes îles tient toutefois à mettre cartes sur table. En aucun cas une perte de biodiversité - un coût environnemental - ne peut être considérée comme un bénéfice social ou économique … ».
De passage à Laval, le ministre de L'Environnement et de la Lutte aux changements climatiques, et ministre régional de Laval, Benoît Charette, affirmait qu' »On devrait très certainement être en mesure de confirmer quelques annonces très structurantes au cours des prochains mois et de la prochaine année ». Les trois grandes îles profiteraient de l'aide de Québec.
Le Plan de conservation et de mise en valeur des milieux naturels propose la mise en place d'un réseau de milieux naturels… Laval jouit d'une riche biodiversité. « Cela soulève ainsi d'importants enjeux de cohabitation qui, à défaut d'être considérés dans une perspective de développement durable, concourent directement à l'érosion de la biodiversité , reconnaît l'administration municipale. »
« Entre juin 2017 et la fin de l'année 2019, le ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) a autorisé 16 des 36 demandes (44%) provenant de promoteurs désireux de construire en milieux humides, selon la compila- tion dressée par le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Laval. ... ».
« Au Forum économique mondiale de Davos, Greta Thunberg avait averti les dirigeants que notre maison était en feu et qu'il était plus que temps d'agir. Elle illustre ce concept dans une vidéo, pour souligner le Jour de la terre. »
Les milieux naturels offrent aux municipalités des infrastructures vertes durables et permettent à un moindre coût de prévenir les catastrophes reliées aux changements climatiques.
« ... le premier ministre a choisi de faire de l'environnement sa priorité ... »
« Même minoritaire, le gouvernement libéral aura les coudées franches pour honorer sa promesse électorale survenue en toute fin de campagne.»
... « Laval souhaite adopte un nouveau rôle de leader en matière de protection des milieux hu- mides d'intérêt ... Cet ambitieux projet lui permettra d'élever à 12% la superficie des milieux naturels protégés par la réglementation et le régime de propriété sur son territoire, la rappro- chant de son objectif de protection de 14%. » ...
« Les libéraux de Justin Trudeau promettent d'aider Laval à protéger les îles aux Vaches, Saint-Pierre et Saint-Joseph, qui sont sur son territoire… ».
« À cinq jours du scrutin fédéral, les quatre candidats libéraux de Laval s'engagent à travailler avec les autorités municipales pour assurer la protection des îles aux Vaches, Saint-Pierre et Saint-Joseph via le Fonds d'adaptation en matière de catastrophes naturelles… ».
« Ce nouveau chapitre dans la saga de l'archipel Saint-François pousse …(l'organisme Sauvons nos trois grandes îles) à interpeller les autorités municipales afin que celles-ci relancent rapidement les pourparlers avec le propriétaire de l'île, Luigi Liberatore. »
« Valérie Plante a qualifié de « prévisible » la mise en demeure expédiée par trois promoteurs de Cap Nature, dont le projet immobilier est compromis par la création d'un grand parc dans l'Ouest-de-l'île… »
« … Dans un contexte de changement climatique, les arbres - véritables puits de carbone - sont un élément essentiel de la solution, mais prise à elle seule, cette proposition relève bien plus du mirage que du miracle… »
« L'UMQ désire porter à votre attention une décision récente qui propose le critère du taux au pied carré constructible comme étant le meilleur indicateur pour établir la valeur réelle d'un terrain qui a fait l'objet d'un changement de zonage… »
« … Nous avons choisi de changer de paradigme et de repenser entièrement le développement de notre territoire. Nous avons choisi de donner à la protection de nos aires naturelles l'importance qui lui revient, plutôt que de l'opposer au développement économique… »
« Nous pouvons désormais espérer que …l'avenir n'est plus à la spéculation foncière sur ces espaces de haute biodiversité… »
« Le nouveau rapport publié cette semaine par l'ONU sera à la biodiversité ce que ceux du GIEC sont au réchauffement climatique: un jalon ne pouvant être ignoré, au péril de notre avenir…. ».
Le maire Bourelle félicite l'administration et le conseil municipal pour leur rigueur. « Je suis aussi fier, dit-il, de la détermination dont nous avons tous fait preuve pour protéger l'environnement au bénéfice des générations actuelles et futures. Ensemble, nous avons réussi... »
Le Courrier Laval a repris la Déclaration citoyenne d'urgence de l'organisme.
«Un tribunal australien a rendu vendredi une décision potentiellement lourde de conséquences pour l'industrie minière en invoquant le réchauffement climatique et l'Accord de Paris pour rejeter un projet de mine de charbon.»
« Le conseil municipal adoptait en novembre dernier une résolution reconnaissant l'état d'urgence climatique, pressant du coup les paliers provincial et fédéral à s'attaquer à la question des changements climatiques et aux émissions de gaz à effet de serre (GES). »
Les nappes phréatiques: une bombe à retardement environnementale. « Les eaux souterraines sont aujourd'hui la première source d'eau potable de la planète, et deux milliards de personnes en dépendent pour boire ou pour l'irrigation…Ces réserves sont déjà sous pression… »
«Une fois qu'on admet que les changements climatiques sont bien réels et commandent une réaction urgente, l'adoption d'une taxe carbone apparaît comme « le moyen le plus efficace et rentable » de corriger « un échec bien connu du marché »
Notre Lettre à une future bénévole de la protection de l'environnement parue dans nos Actualités le 17 septembre 2018 aurait-elle trouvé un écho?
Trois grandes îles
Depuis la fondation de Sauvons nos trois grandes îles en 2008, le journaliste Stéphane StAmour couvre le combat des citoyens lavallois pour la protection des îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre. À la veille des élections provinciales, l'édition du jour du Courrier Laval présente, des pages 3 à 5, les articles suivants:
- Sauvons nos trois grandes îles dénonce les doubles discours
- Le montant de 21M$ fixé par le ministre Heurtel
- Éco-Nature inquiet
- « Sauvons nos trois grandes îles joue le tout pour le tout »
Élections provinciales éditorial
L'environnement est l'enjeu qui déterminera le vote d'une bonne partie des lecteurs de La Presse, et pourtant, ce thème a été presque occulté…
À la veille des élections provinciales du 1e octobre prochain, René Saint-Louis accorde la parole à la présidente de l'organisme Huguette Larochelle, à la députée sortante de Laval, Francine Charbonneau, à Sylvie Moreau candidate dans Vimont pour le Parti Québécois, à Jean Trudelle candidat dans Mille-Îles pour Québec Solidaire, ainsi qu'à Alain Joseph pour le Parti Vert dans Mille-Îles.
L'organisme à qui l'on doit la protection d'importantes superficies naturelles le long de ce cours d'eau estime qu'il « manque une pièce maîtresse au tableau ».
L'heure est à la grande désillusion au sein de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles (STGI)
Suite à son communiqué de presse du 17 septembre ainsi qu'à la Lettre à une future bénévole de la protection de l'environnement qui l'accompagnait, l'organisme Sauvons nos trois grandes îles persiste: la protection des trois grandes îles ne fait pas partie des engagements électoraux écrits de la Ministre responsable de Laval. Cela n'est pas sans importance.
Celui qui a toujours fait preuve d'une grande discrétion entourant cette négociation qui a avorté en juin est formel: le montant avait été fixé par le ministre David Heurtel au moment où il était à l'Environnement.
La ministre régionale, Francine Charbonneau, … rassure les dirigeants et bénévoles de Sauvons nos trois grandes îles (STGI) quant à sa volonté de protéger l'archipel Saint-François baigné par les eaux de la rivière des Mille Îles.
"L'administration Demers a beau rejeter la responsabilité sur Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), l'organisme Sauvons nos trois grandes îles (STGI) lui attribue l'échec de la négociation qui visait l'acquisition des îles Saint-Joseph, Saint-Pierre et aux Vaches."
L'administration Demers tient le gouvernement libéral et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) responsable de l'échec de la négociation qui visait l'acquisition des trois grandes îles.
Le journaliste du Courrier Laval s'est entretenu avec Anaïs Boutin, biologiste de l'organisme lavallois Éco-Nature, ainsi qu'avec Huguette Larochelle, présidente de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles. Par ailleurs, le biologiste Pierre-Alexandre Bourgeois a contacté le journaliste pour se porter à la défense des friches trop souvent dévalorisées.
Le CRE de Laval, le nouvel organisme régional Canopée, les Amis du Boisé du Souvenir ainsi que Éco-Nature, voilà autant d'organismes environnementaux experts qui se sont penchés sur les questions que leur a soumises Stéphane St-Amour du Courrier Laval le 28 mai 2018.
« Devant les pouvoirs élargis des gouvernements dits de proximité, il nous apparaît de plus en plus pertinent qu'une presse régionale indépendante puisse faire contrepoids au pouvoir des gouvernements municipaux, car les partis passent mais les écrits restent. »
En 2016, en vue de l'acquisition des trois grandes îles en partenariat, la Ville avait avancé pour sa part une somme globale de 7M$. Toutefois, peu avant les élections municipales, le maire Marc Demers annonçait qu'une entente de principe liant la Ville de Laval au propriétaire des îles aux Vaches et Saint-Pierre épuiserait la totalité de son enveloppe.
Selon la présidente de l'organisme, les trois grandes îles seront protégées. Mais s'agira-t-il d'une protection de la totalité de leur espace, et pour une conservation pérenne?
À la demande de Vincent Maisonneuve, les candidats à la mairie se prononcent...
Dans son communiqué du 18 septembre, Sauvons nos trois grandes îles demandait aux futurs candidats qui se présenteront aux prochaines élections municipales de s'engager, s'ils sont élus, à conserver le droit au référendum. Aujourd'hui, le journaliste du Courrier Laval invite à son tour chacun des candidats à la mairie à se positionner par rapport au maintien ou non du droit au référendum. Le chef et maire actuel Marc Demers du Mouvement Lavallois, le chef d'Action Laval Jean-Claude Gobé, le chef du Parti Laval Michel Trottier, le chef d'Avenir Laval Sonia Baudelot, ainsi que le chef de l'Alliance des Conseillers Autonomes Alain Lecomte ont répondu à l'appel de M. St-Amour.
Bien que la loi 122 adoptée en juin dernier permette aux municipalités de se soustraire à l'approbation référendaire, les Villes sont divisées : certaines ont l'intention d'abolir les référendums, d'autres de les conserver, et d'autres pensent plutôt à limiter et à préciser leur étendue. Frank Desoer a rencontré de nombreux citoyens, des représentants d'organismes et des élus. Il a recueilli le point de vue de la présidente de Sauvons nos trois grandes îles, Huguette Larochelle.
La Ville a conclu une entente de principe avec le propriétaire; cette entente est conditionnelle à l'acceptation financière du Gouvernement et de la Communauté métropolitaine de Montréal.
Sauvons nos trois grandes îles souhaite « que la Ville emboîte le pas aux municipalités qui ont décidé de conserver le droit au référendum ». À Laval comme dans d'autres municipalités, la protection des milieux naturels passe par la protection des droits des citoyens. L'organisme demande un engagement ferme aux candidats à la mairie
« Fraîchement acquise, cette « autonomie bien légitime » pour reprendre les mots de Marc Demers comprend notamment le retrait du droit des citoyens au processus référendaire en zone dite de requalification. »
Plus de quatre ans après avoir mis en réserve trois îles de la rivière des Mille-Îles abritant une très riche biodiversité, le gouvernement du Québec n'est toujours pas en mesure de confirmer si les îles seront achetées et protégées…
Le regroupement de citoyens qui milite depuis 2008 pour la protection de trois îles majeures de la rivière des Mille-Îles presse Québec d'agir dans le dossier, au moment où ces îles ne bénéficient plus de mesures de protection…
La Presse présente un Petit tour d'horizon à l'occasion du jour de la Terre… La préservation de quatre îles dans la région de Montréal…
« Encore un mois et les propriétaires des îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre reprendront leur droit de disposer de ces trois grandes îles, frappées d'une mise en réserve depuis quatre ans. »
« Pour la construction d'une vraie trame verte et bleue dans la région métropolitaine, ces trois îles jouent un rôle important. »
« … l'organisme évoque le rapport d'experts produit par Éco-Nature à la demande du ministère du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte aux changements climatiques … ».
Les citoyens et organismes jugent que le droit au référendums est un outil fondamental en démocratie. Le passé le démontre. Malheureusement, les municipalités leur prêtent souvent des intentions qu'ils n'ont pas.
« La Presse a rencontré plusieurs associations citoyennes qui craignent les répercussions du projet de loi 122 prévoyant l'éliminations des référendums à Montréal et Québec et leur affaiblissement ailleurs dans la province. »
« … Ces espaces naturels, verts et bleus, se trouvent au coeur du concept de Ceinture verte, basé sur la création d'une vraie trame verte et bleue dans la grande région de Montréal. Il est temps que leur protection se concrétise.
« l'avenir de l'archipel Saint-François, baigné par les eaux de la rivière des Mille Îles, s'est invité dans la présente campagne fédérale, alors que le maire en a fait un enjeu régional. »
« Ces trois grandes îles doivent absolument faire partie de la trame verte et bleue de la grande région montréalaise… »
Entre autres demandes, le maire de Laval invite les candidats à porter une attention particulière aux trois grandes îles; « les diverses sommes du gouvernement fédéral viendront ficeler les projets sur les tables à dessin. »
Parmi les huit demandes exprimées par le maire se trouvent les trois grandes îles.
En plus de présenter des demandes en matière de transport, d'infrastructures et de logements sociaux le maire dit souhaiter « que les partis fédéraux s'impliquent financièrement dans le dossier des «trois grandes îles» ».
Dans le cadre de la campagne fédérale en cours le maire Demers a réclamé un engagement des partis politiques sur plusieurs dossiers, incluant « l'achat et le développement en parc du «joyau» que sont les trois grandes îles ».
Suite à la création de la Table des maires et mairesses pour la protection des milieux naturels, la Commission en environnement de la Communauté métropolitaine de Montréal a reçu le mandat de proposer un plan d'action pour la protection et la mise en valeur des milieux naturels qui occupent le territoire de la CMM.
Cette commission sera présidée par M. Mac Demers, maire de Laval.
Entrevue avec le Prof. Gérard Beaudet, qui soutient qu'en rupture d'un historique d'urbanisme de cabinet de maire les prochaines consultations publiques visent à "davantage refléter les préoccupations des citoyens, parmi lesquelles le vieillissement de la population, l'appauvrissement de certains quartiers et la négligence à l'endroit des milieux humides et agricoles".
« Connue pour l'occupation échevelée de son territoire, la Ville de Laval a lancé hier des consultations publiques pour se doter d'un schéma d'aménagement en bonne et due forme… », le dernier schéma d'aménagement datant de 1990.
« Je ne connais pas une ville au Québec qui a cette opportunité- là », a déclaré Serge Lamontagne lors de l'annonce de la tenue des consultations publiques relatives à la révision du schéma d'aménagement de son territoire. « La raison est simple. Ce plan de développement, normalement vu et corrigé aux 5 ans, est ici figé dans le temps depuis 26 ans. »
La Ville souhaite ainsi approfondir, avec tous les acteurs locaux, des thèmes liés à l'aménagement du territoire, incluant les enjeux touchant l'environnement. Le schéma d'aménagement et de développement est le document officiel le plus important en matière de planification territoriale pour Laval. Il guide la Ville et tous les acteurs locaux vers une vision commune et cohérente de l'organisation physique du territoire, et ce, dans une perspective de développement durable.
La Ville amorcera en juin la révision de son schéma d'aménagement et de développement, plus de 25 ans après son adoption. Ce processus comprendra trois rondes de consultations populaires qui se dérouleront sur une période de 12 mois. La première ronde de pré-consultations se déroulera du 1er au 16 juin dans tous les secteurs de l'île.
La Ville de Laval vient d'annoncer qu'elle adoptera un nouveau schéma d'aménagement et de développement du territoire au mois de décembre 2016. « Nous allons redessiner l'Île Jésus : définir les milieux protégés, les zones commerciales, industrielles et résidentielles», explique le maire, Marc Demers… Le schéma devra prendre en compte les orientations gouvernementales et le Plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). »
Faite à l'occasion du Forum des maires et mairesses pour la protection et la mise en valeur des milieux naturels du Grand Montréal, cette annonce confirme que les municipalités concernées adoptent une démarche collaborative et se donnent les moyens pour soutenir la mise en place de la Trame verte et bleue du Grand Montréal, un des projets du Plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD), entré en vigueur en 2012.
Dans le cadre de son discours à la Chambre des Communes sur le budget et l'environnement la députée d'Alfred-Pellan a rappelé aux membres du Parlement fédéral les préoccupations de la population lavalloise en ce qui a trait à l'environnement et "le travail remarquable" effectué par l'organisme Sauvons nos trois grandes Îles en la matière …
La Ville de Laval « a fait savoir qu'un plan financier d'acquisition des trois grandes îles (Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre) est en cours d'élaboration avec le gouvernement du Québec. »
« Avec environ 1 % d'aires protégées (alors que l'objectif du PMAD est de 17 %) sur son territoire, Laval ne peut se permettre de perdre ce joyau écologique que constituent les trois grandes îles. »
La Ville de Laval et le ministère du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques travaillent de concert à produire un plan financier d'acquisition des trois grandes îles...
« Avec environ 1 % d'aires protégées (alors que l'objectif du PMAD est de 17 %) sur son territoire, Laval ne peut se permettre de perdre ce joyau écologique que constitue les trois grandes îles. »
Le dossier des trois grandes îles de la rivière des Mille Îles: « L'objectif était de sensibiliser le ministre sur cet enjeu environnemental majeur pour la grande région métropolitaine et de voir dans quelle mesure le fédéral pourrait contribuer financièrement à … »
Les trois grandes îles sont réservées par le gouvernement provincial jusqu'au printemps 2016. Par ailleurs 2015 marquera une année de festivités à Laval. Le dossier avance, et Sauvons nos trois grandes îles souhaite un dénouement avant la fin de 2015.
« L'organisme Sauvons nos trois grandes îles interpelle la Ville de Laval, le gouvernement provincial et la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) pour leur demander d'agir au plus vite. »
« Aux yeux de Mme Francine Charbonneau, députée des Mille Îles, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de Laval, le dossier de la protection des trois grandes îles demeure l’un des dossiers importants à Laval… »
« Dans le cadre d'un partenariat avec Québec, Laval est prête et intéressée à investir dans la mise en valeur et la conservation de ces 3 grandes îles", a affirmé le maire Demers. »
La protection des trois grandes îles de la rivière des Mille Îles était à l’ordre du jour de cette rencontre. « Dans le cadre d’un partenariat avec Québec, Laval est prête et intéressée à investir dans la mise en valeur et la conservation des ces 3 grandes îles », a affirmé M. Demers.
« Soucieux de favoriser un développement propice à la conservation de la biodiversité et des milieux naturels et agricoles, les maires de Laval … qui sont présents à cette première rencontre, réclament aux paliers de gouvernement supérieur l’assistance et les outils nécessaires. »
Selon la ministre responsable de Laval, Mme Francine Charbonneau, « la solution réside dans une action concertée des trois paliers de gouvernement. »
« Rappelant la visée du décret adopté en 2012, qui était d'augmenter le nombre d'aires protégées sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal, l'organisme de défense se montre optimiste pour la suite des choses. »
L'organisme « se réjouit de la nomination de la députée de Mille-Îles Francine Charbonneau au Conseil des ministres et c'est avec enthousiasme que Sauvons nos trois grandes îles entrevoit l'avenir des îles ... »
« La reconduction de la mise en réserve est une condition sine qua non à la protection définitive ... »
« La députée des Mille-Îles, Francine Charbonneau, a été nommée... »
« La députée des Mille-Îles, Francine Charbonneau, accède au Conseil des ministres à titre de ministre des Aînés, responsable de la Famille et de la lutte à l'intimidation ainsi que ministre responsable de la région de Laval... »
« ... cinq projets orientés vers la trame verte sont en cours. On parle ici du parc de la rivière des Mille Îles, ... »
Il est question entre autres des 3 grandes îles et de leur valeur écologique, de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles, de son combat contre le zonage illégal de nos îles, de sa pétition de plus de 41 000 signatures, de son partenariat avec les élus provinciaux de 2008 à ce jour, et du premier objectif de sa mission, malheureusement non encore atteint, soit l'obtention d'un statut juridique accordant aux îles la protection d'aires protégées. Enfin, il est question, aussi, de la présidente de l'organisme, de son travail de bénévole, de ses attentes parfois déçues, et de sa conviction selon laquelle les îles seront protégées d'ici à juin 2016, dernier terme de la mise en réserve qui protège provisoirement nos trois grandes îles.
« Philippe Couillard affirme qu'il n'est pas question de développement sur les trois grandes îles. Si Laval et la communauté sont ouvertes à l'idée d'un parc, dit-il, un gouvernement libéral envisagerait de les acquérir.
Quant à Mme Marois, elle constate que la nouvelle administration à Laval est ouverte, et qu'un montage financier pourrait assurer la sauvegarde des îles. »
« Le maire Demers affirme qu'il faut protéger les trois grandes îles et les terres agricoles. »
« M. Jean Poirier, candidat dans Vimont, a promis la reconduction de la mise en réserve des trois grandes îles ... »
« Figures emblématiques de la cause environnementale à Laval ... »
Cette table « serait composée de hauts fonctionnaires délégués par le ministère du Développement durable, de la Faune et des Parcs (MDDEFPQ), la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et la Ville de Laval. »
« Depuis 2008 que j'en parle des trois grandes îles. C'est le poumon de Laval. »
« Le maire Demers demande au gouvernement provincial de l'appuyer dans la protection des trois grandes îles. Plus précisément, reconduite de la mise en réserve, et expropriation des propriétaires. »
« Laval réclame une prolongation de deux ans de cette protection et une démarche d'expropriation auprès de deux propriétaires des trois îles. »
« ... le CRE-Montréal, membre actif du Mouvement Ceinture verte et qui a soutenu depuis le début le groupe de citoyens, appuie cette démarche concertée ... »
« Pour Sauvons nos trois grandes îles, la reconduction d'une mise en réserve n'est pas une option pour la protection de l'archipel Saint-François... »
« ... au-delà d'une contribution financière à l'acquisition des îles, la Ville a le pouvoir d'accorder un statut de conservation aux trois grandes îles »
« Les députés libéraux lavallois ont discuté de multiples sujets lors de leur récente rencontre avec le maire, Marc Demers, L'un de ceux-là fut le sort qui attend les trois îles de l'archipel Saint-François. »
« L'organisme Sauvons nos trois grandes îles (SNTGI) a, lui aussi, invité les candidats à leur faire part de leurs intentions au sujet de l'archipel Saint-François, qui regroupe les îles Saint-Pierre, Saint-Joseph et aux Vaches. »
« Ils se battent pour protéger chacun un coin du territoire de la CMM: Huguette Larochelle à Laval, Tommy Montpetit à Longueuil, François Boivin à Lorraine et Guy Turcotte à Léry. Vous avez l'occasion de les rencontrer "en personne" à travers quatre courtes vidéos. »
« Essentiels en région urbaine selon les experts, les milieux naturels purifient l'air et protègent contre les inondations. »
« Dans la région métropolitaine, de plus en plus de défenseurs des milieux naturels se présentent aux élections du 3 novembre! »
« Sauvons nos trois grandes îles a exprimé à M. Blanchet, ministre du MDDEFP, ses inquiétudes au sujet de l'avenir des îles dans le cadre municipal actuel. Le ministre a répondu, et les candidats à la mairie ont réagi. »
« Compte tenu de cette volonté unanime de protéger l'archipel Saint-François ... »
« À l'occasion de la campagne électorale municipale, L'Écho de Laval s'est entretenu avec chacun des candidats à la mairie ... »
« Une inclusion de l'archipel dans le Plan d'aménagement de Laval donnerait accès au Programme d'aide financière de la Trame verte et bleue de la CMM." »
« Elle accepte l'idée d'un financement tripartite." »
« Les trois grandes îles, une protection permanente s'impose: pour protéger leur grande valeur écologique, consolider le Parc de la Rivière-des-Mille-Îles et constituer un apport significatif à la Trame verte et bleue du Grand Montréal métropolitain. Fort de l'appui massif de la population, l'organisme Sauvons nos trois grandes îles conserve sa détermination: "...nous allons poursuivre notre travail de pression!" »
« Neuf organismes locaux oeuvrant à la protection de l'environnement (…) joignent leur voix à celle du Conseil régional de l'environnement (CRE) de Laval, invitant l'administration municipale "à envisager sérieusement la tenue de consultations publiques". »
« Les travaux prévoient entre autres...l'agrandissement du refuge faunique du parc de la rivière des Mille-Îles... »
« On veut également créer un parc sur les berges de la rivière des Mille-Îles... »
Les trois grandes îles n'apparaissent pas au budget 2013 déposé par le nouveau maire de Laval, M. Alexandre Duplessis. Toutefois, on peut « comprendre le refus de la Ville d'investir dans l'archipel Saint-François, considérant que le gouvernement a toujours acquitté la facture des acquisitions visant la création de parcs régionaux ailleurs au Québec. »
« le changement de garde à l'Hôtel de Ville de Laval comme à l'Assemblée nationale à Québec, et la Commission Charbonneau... »
« Avec la démission du maire Gilles Vaillancourt et l'élection du Parti québécois, "le contexte politique municipal est opportun" pour transformer en parc... »
« La rivière des Mille Îles est un joyau écologique. Ses rives et ses îles sont cependant menacées... »
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« L'avantage d'un deuxième mandat, c'est que tu peux poursuivre le travail entamé et arriver à tes fins… » affirme Mme Charbonneau… après la confirmation de sa victoire.
Mme Linda Tousignant, candidate pour le PQ dans Vimont, a soutenu qu'il faut assurer la protection des trois grandes îles en les acquérant "dans les meilleurs délais."
"À la suite d'une subvention de plus de 22 000$ de notre gouvernement afin de réaliser une étude environnementale sur la protection des îles St-Joseph, St-Pierre et aux Vaches, j'aimerais poursuivre mes engagements afin de mettre en valeur ce patrimoine écologique avec l'objectif ultime d'en faire bénéficier l'ensemble de la population lavalloise."
"Après avoir mis en réserve à des fins publiques les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre, les libéraux souhaitent que celles-ci soient intégrées au corridor bleu. La candidate de Mille-Îles, Francine Charbonneau, se donne trois à cinq ans pour y parvenir."
« À Laval, le tracé sillonnerait les comtés de Fabre, Chomedey et Laval-des-Rapides sur une vingtaine de kilomètres… »
« On pourra bientôt pédaler ou marcher sur 120 kilomètres entre le parc national d'Oka et le mont Saint-Hilaire… Le gouvernement du Québec a annoncé hier un investissement de 20 millions pour ce projet… »
« Le sentier de 120 km traversera 16 municipalités de la CMM (Communauté métropolitaine de Montréal)… et nécessitera des investissements de 60 millions. »
« Pour bien protéger la biodiversité dans la région de Montréal, il faut renforcer la protection de milieux naturels sur un vaste territoire s'étendant de Rigaud jusqu'à Trois-Rivières. C'est ce que propose la Fondation David Suzuki (FDS) dans un rapport… »
« La création d'un parc le long de la rivière des Mille Îles bénéficiera d'une importante aide financière du gouvernement du Québec. Le montant de cette aide reste à déterminer. »
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« Une décision officielle quant à l'avenir des îles a été rendue en février dernier... »
« ... Mathieu Traversy, député péquiste de Terrebonne ... indique qu'il assurera le suivi de ce dossier... » Suite
« Dans sa forme actuelle, le projet de loi permettrait à une municipalité de modifier le zonage de certains secteurs sans soumettre ses décisions à des référendums. » Suite
« La Loi sur l'aménagement durable et l'urbanisme (projet de loi 47) « retire aux citoyens la capacité d'agir directement (…) Désormais, il sera impossible aux individus d'intervenir entre deux élections », proteste Patricia Lefevre, membre de la Coalition pour une démocratie municipale au Québec (CDMQ). » Suite
« C'est très rétrograde à l'époque où plus que jamais les citoyens veulent être partie prenante de l'aménagement urbain », a dénoncé en Conseil de ville Louise Harel, chef de Vision Montréal. » Suite
« Aujourd'hui, Mme Larochelle et son groupe de pression réitèrent leur foi envers la ministre régionale et son caucus. » Suite
« Nous sommes très heureux que le gouvernement du Québec sit franchi une étape importante... » Suite
« Trois îles de Laval ont été mises en réserve en vue de leur conservation, hier, ce qui marque un nouveau jalon dans une bataille qui dure depuis plus de 20 ans. » Suite
« (…) le ministre Pierre Arcand, a fait savoir hier que la mise en réserve à des fins publiques des trois îles visait à créer des aires protégées. Cette réserve, susceptible d'être renouvelée pour une période supplémentaire de deux ans, permettra à Québec de mener des études sur l'évaluation marchande des îles (…) » Suite
« (...) C'est une très grande bataille qui durait depuis longtemps. On avait recueilli 45 000 signatures pour demander la protection des îles (...) Pourquoi le gouvernement a décidé d'agir? Parce que c'est une réserve écologique d'importance: 245 espèces végétales, 40 % de tous les reptiles (...) » Suite
« Aucun développement domiciliaire ou industriel ne pourra être réalisé durant cette période de mise en réserve de deux ans», a précisé le ministre Arcand. (...) Le gouvernement procédera au cours des prochains mois à l'évaluation foncière des terrains en vue d'en faire l'acquisition. Aucune discussion n'aurait encore été entamée avec les propriétaires. (...) » Suite
« (...) Les libéraux s'étaient engagés à protéger ce territoire de près de 200 hectares lors de la campagne électorale de 2008, mais attendaient les conclusions d'une étude environnementale avant d'agir. » Suite
« Pour les membres du regroupement Sauvons nos trois grandes îles, l'annonce de lundi est une victoire. Ces derniers militent depuis des années pour la protection des îles de l'archipel Saint-François. C'est un bon pas en avant, soutient Huguette Larochelle, présidente de l'organisme. Mais ce n'est pas une protection permanente. La militante reste sur ses gardes, notamment (…). » Suite
« Même si la mise en réserve de deux ans des trois îles n'est qu'une mesure provisoire, la ministre Michelle Courchesne, présidente du Conseil du trésor, se veut rassurante. En effet elle affirme « qu'une somme d'argent avait déjà été réservée pour la protection des grandes îles, en se gardant bien d'en préciser le montant. » Suite
« Si le dossier n'est pas réglé avant le déclenchement des élections, tout le processus tombera au point mort. Il faut absolument... » Suite
« Les citoyens qui militent depuis vingt ans pour la protection des îles de l'archipel Saint-François (…) pressent le gouvernement de tenir sa promesse et d'informer officiellement les citoyens de l'avancement de ses démarches visant la protection permanente des trois grandes îles de l'archipel (…). » Suite
« Malgré l'engagement ferme, depuis 2008, des députés libéraux de faire de ce dossier une priorité, les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre continuent d'être menacées. » Suite
« L'organisme Sauvons nos trois grandes îles (STGI), qui milite pour la protection de l'archipel Saint-François, s'inquiète du silence de la députation lavalloise... » Suite
« …les autorités compétentes en matière de conservation doivent à tout prix accorder aux trois grandes îles un statut de protection adéquat » Suite
Le Conseil régional de l'environnement de Laval (CRE-Laval) propose « l'acquisition des milieux naturels prioritaires... (il faut) protéger toute la rivière des Mille Îles, ses îles et ses paysages... » Suite
« Le groupe Sauvons nos trois grandes îles de la rivière des Mille-Îles a demandé à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) d'inclure «la protection des îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre» au PMAD afin de les préserver d'éventuels projets de construction. » Suite
« Mathieu Traversy souhaite réitérer sa volonté de protéger cet habitat. » Suite
« ... aucun élu de Laval n'était présent... La députation lavalloise a quant à elle pris un engagement à court terme. » Suite
« Le ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, Pierre Arcand, envisage la mise en réserve de trois grandes îles. » Suite
« Les citoyens membres de l'association Sauvons nos trois grandes îles souhaitent que les trois îles fassent l'objet d'un programme d'acquisition… » Suite
« … une étude réalisée à la demande de Mme Courchesne… affirme qu'il faut agir rapidement » pour préserver les trois grandes îles de la rivière des Mille Îles. Suite
« Commandée en 2009, l'étude sur la pertinence écologique de protéger les îles de l'archipel Saint-François a été complétée un an plus tard. Elle a circulé pendant des mois dans les officines gouvernementales, avant d'être «approuvée» par Québec. » Suite
« Sur le pont de bois de l'île Saint-Joseph... les militants pour la sauvegarde de l'archipel Saint-François ont dévoilé, le 19 septembre, une étude écologique des trois îles et demandé un moratoire sur leur développement. » Suite
« Pour trois organismes lavallois, dont Sauvons nos trois grandes îles (STGI), Québec s'apprête à ouvrir la porte à des abus similaires à la démarche de la Ville, en 2001, permettant le développement des trois îles de l'archipel Saint-François. » Suite
« L'avant-projet de loi sur l'aménagement durable du territoire et l'urbanisme n'est pas assez souple et le processus référendaire actuel doit être remis en question, voire aboli, disent de nombreux intervenants, qui prônent l'implication des citoyens en amont des décisions. » Suite
« L'organisme Sauvons nos trois grandes îles annonce que le rapport de l'étude portant sur la pertinence écologique de protéger les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre, dans la rivière des Mille Îles, sera bientôt disponible. » Suite
« Plus de 40 000 citoyens ont signé une pétition qui a été déposée à l'Assemblée nationale pour protéger trois îles situées dans la rivière des Mille Îles à Laval. » Suite [PDF]
« En août 1992, la Ville retire un projet de règlement permettant la construction de 336 maisons sur l'île Saint-Joseph. C'est la première victoire d'une lutte citoyenne qui vise aujourd'hui à sauvegarder l'ensemble de l'archipel Saint-François. (…) Voici quelques dates marquantes de ce qui est convenu d'appeler la saga des trois grandes îles. » Suite
« Les signataires d'une pétition déposée le 12 mai à l'Assemblée nationale demandent un moratoire de trois ans sur tout projet de développement dans l'archipel Saint-François.(…) c'est du temps que les sympathisants (Sauvons nos trois grandes îles) des îles Saint-Joseph, Saint-Pierre et aux Vaches cherchent à obtenir, afin de procéder à l'acquisition de l'archipel baigné par la rivière des Mille Îles. » Suite
« Le député de Terrebonne, Mathieu Traversy, avait convié quelques organismes à se rendre au parc de la Rivière, le 26 avril. Le but de l'opération? Réaffirmer son désir de voir les îles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre préserver leur état naturel. » Suite
